LA TRÊVE DE DIEU
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COMMUNIQUÉ du 09/12/2017 :
L’eugénisme vaccinal en marche

Par delà le bavardage médiatique, la décision la plus importante et nocive que le nouveau président français Macron aura prise, c’est celle de rendre obligatoires 11 vaccins pour les enfants de moins de 2 ans.

Il l'a fait voter à la va-vite à l’occasion du vote du « plan de financement de la Sécurité Sociale 2018 », dans son article 34, les 27 et 31/10/2017, de manière à étouffer tout débat.1 Il n'y a eu aucune audition d'experts ou de parties prenantes, seulement des séances de discussions d'un niveau pitoyable, ou le pouvoir en place a fait une propagande insultante et diffamatoire contre les quelques opposants présents et tous les opposants absents.2

Les « débats » qui ont eu lieu à l'assemblée montrent la mauvaise foi du pouvoir en place, les mensonges de la ministrette de la santé3, et son absence totale de considération pour la vérité et pour les victimes.

Ce pouvoir a une foi aveugle dans la propagande pseudo-médicale de l'industrie vaccinale : les vaccins auraient réduit la mortalité par le passé. L'Histoire ne le confirme pas : il y a bien d'autres facteurs, et les dégâts causés par les vaccination sont volontairement occultés.

Comme dans tous les domaines où l'état prétend être compétent, on trouve une propagande massive tendant ici à justifier le bien fondé des obligations vaccinales, relayée par les grands médias et écrite par des gens qui devraient être compétents (des médecins), mais qui s'avèrent malhonnêtes. Car le plus souvent, cette propagande est truffée de mensonges et d'omissions, et caricature ceux qui contestent les vaccins comme des ignorants charlatans et/ou sectaires.
L'aspect massif de cette propagande pourrait impressionner, mais il suffit de creuser la question et de faire connaissance avec de véritables et nombreuses victimes pour comprendre qu'il s'agit là d'une basse manœuvre politique.
Ce sont des gens sensés qui contestent les obligations vaccinales, la plupart des pays tendent d'ailleurs à supprimer ces dernières.

Des politiciens de bas étage prétendent instaurer la confiance par la contrainte. Il subiront de plus en plus la défiance basée sur des preuves.

Des vaccins douteux et dangereux

Il ne restait en France que 3 vaccins obligatoires, le DTP (diphtérie, tétanos, poliomyélite, triple vaccin, mais seul un vaccin hexavalent est disponible depuis 2008 en France), mais l’école publique exige déjà aussi d’autres vaccins pour accepter un enfant en maternelle, dont le fameux ROR (rougeole, oreillons, rubéole). Pour plusieurs raisons, ce vaccin provoque l’autisme régressif chez 1 à 3 % des bambins qui le reçoivent. L'autisme est devenu une véritable épidémie car il touche aujourd'hui plus d'un enfant sur 70 alors qu'il en touchait un sur 5000 en 1975 (variable selon la région) ; on sait maintenant qu'il s'agit d'une maladie déclenchée par plusieurs facteurs : toxicité des pollutions et de l'alimentation (métaux lourds et pesticides), flore intestinale dégradée, vaccins (métaux, toxines et virus vivants), susceptibilité génétique, micro-ondes à impulsions (en forte augmentation avec la téléphonie mobile etc.), le déclenchement de ce déséquilibre intervenant fréquemment après les vaccinations vers 18 mois (autisme régressif).

Car, malgré les affirmations péremptoires et sans preuves4 des prétendues « autorités de santé », les vaccins ne sont pas des produits sûrs5. Ils contiennent des bactéries ou des virus, affaiblis ou vivants, des adjuvants à l’aluminium et autres, des conservateurs, etc. Ils sont administrés par des médecins qui ne respectent pas les contre-indications (par exemple il ne faut jamais vacciner un enfant malade ou sujet à allergies), par négligence ou par l'appât des primes.

Les vaccins sont censés aider le patient à construire une réponse immunitaire face à ces bactéries ou virus, et, on y a ajouté des adjuvants dont parle le Pr Even :

« Des adjuvants, à mon sens, il y en a des centaines depuis 30 ou 40 ans, utilisés, sans jamais aucune étude publiée justifiant scientifiquement leur utilisation. (…) ces adjuvants peuvent avoir un effet positif sur cette réponse immunitaire [que cherche à fabriquer le vaccin]. Le problème, c’est qu’il y a tout lieu de penser que a) avec certains adjuvants, cela pourrait bien réduire au contraire la défense immunitaire, b) avec d’autres adjuvants, il pourrait y avoir des effets dangereux et toxiques directs, indépendants de la réponse vaccinale qu’on cherche à produire. Et c’est là où on pourrait craindre que certains adjuvants soient éventuellement la source de pathologies graves chez certains sujets, pas chez tous... »

Parmi les additifs les plus dangereux : l’aluminium et le mercure. Et les virus vivants injectés peuvent aussi causer de très gros dégâts chez certains sujets, dont l’autisme. C’est le problème qu’a soulevé le Dr Wakefield sur 12 cas et que les données massives récoltées par la FDA confirment.

Un facteur aggravant est le fait de vacciner de très jeunes enfants, alors que leur système immunitaire est encore immature : il faut 1000 jours après la conception (jusqu'à l'âge de 2 ans) pour qu'il soit prêt ; en attendant, le bébé bénéficie de l'imunité que lui transmet sa mère, par l'allaitement maternel notamment.

Des « autorités sanitaires » systématiquement corrompues

Le Dr Wakefield (gastro-entérologue) avait étudié 12 enfants devenus autistes suite à la vaccination ROR. Il a identifié une causalité probable entre le vaccin et les désordres intestinaux graves qui ont provoqué un basculement dans l’autisme (autisme régressif). Son étude publiée en 19986 suggérait une recherche plus approfondie, et, dans un premier temps, de ne pas faire les 3 vaccins en une seule injection. La méfiance envers les vaccins a alors fortement augmenté au Royaume Uni, d'autant que le comportement délinquant des autorités de santé était déjà connu de la population : elles avaient cherché à cacher la dangerosité du ROR sur un autre aspect.7

L’establishment médical, adepte de la secte de vaccinologie, a vu dans la petite étude de Wakefield un blasphème contre le dogme de la vaccination, et a persécuté Wakefield.

La plus grosse agence d’état, la FDA américaine, lança alors en 2001 une étude à grande échelle pour vérifier les conclusions de Wakefield. Les statistiques qu’elle a récoltées confirment clairement le lien entre le ROR et l’autisme, surtout chez les populations noires8. Mais ce résultat n’allait pas dans le sens des intérêts des fabricants de vaccins, alors la FDA a sélectionné les données qui l’arrangeaient, en excluant une grande partie de l’échantillon de population mesurée. La FDA a donc publié en 2004 une étude frauduleuse, qui conclut à l’absence de lien entre le ROR et l’autisme9. Beaucoup de médecins et beaucoup de gens croient naïvement que l’état est bien intentionné et agit pour le bien commun, mais la réalité les contredit. La plupart des autres agences de santé étatiques (France, etc.) se sont bien évidemment alignées sur la FDA. Et Wakefield a été exclu du système médical anglais, il s’est réfugié au Texas.

Mais… la vérité a la vie dure : en 2014 un lanceur d’alertes interne à la FDA, le Dr. William Thompson, co-auteur de l’étude, et qui a constaté le déroulement de cette fraude massive l’a dénoncée, et il a permis la publication des données qui avaient été occultées. Les grands médias ont préféré se taire, mais tout le dossier est sur Internet et un film documentaire très bien fait a été réalisé (et même sous-titré en Français) : Vaxxed. Malgré cela, les politiques actuels restent dans le déni de réalité et font dans le négationnisme imbécile et criminel.

Les vaccins, outils de l’eugénisme

On connaissait déjà la contraception chimique, outil par excellence de l'eugénisme contemporain. La politique vaccinale est un autre angle d'attaque utilisant l'ingérence de l'état dans la médecine.

Avec 11 vaccins obligatoires sur des bébés de moins de 2 ans, nous verrons à coup sûr une forte aggravation de l’épidémie d’autisme. Et c’est peut-être en réalité le but recherché.

Des bureaucrates intelligents en sont venus à décider froidement de nuire à la santé de la nouvelle génération.

Car, au delà de l’arrogance et de la bêtise de toute bureaucratie, il y a aussi leur mentalité sous-jacente : l’eugénisme. Écarter de la société les 5% les plus fragiles était et est encore l’objectif des eugénistes, qui cherchent toujours à sélectionner une race supérieure. Comme du temps de Francis Galton, Charles Darwin ou Alexis Carrel et des Rockefeller, ils souhaitent écarter de la vie les plus faibles, cette fois-ci en les handicapant très sévèrement, pour ensuite les stériliser et les parquer dans des institutions fermées.

L’eugénisme contemporain a changé de symboles et de vocabulaire depuis l’après-guerre 1945, et prétend maintenant lutter contre la discrimination envers les handicapés et les noirs, tout en organisant leur élimination par avortement (aux USA 36% des avortements sont infligés à des noirs alors que la population noire est de 13%, et en France le pourcentage d’enfants trisomiques exterminés avant la naissance est de 96%).

Dans le domaine des vaccins, un exemple de cette mentalité eugéniste sous-jacente est donné par un ancien directeur scientifique de Pasteur-Mérieux (de 1984 à 88), qui, interrogé sur la mise en place d’un adjuvant à l’aluminium (à la place d’un ancien adjuvant au phosphate de calcium relativement inoffensif) dans les vaccins, a expliqué que ce changement a été décidé par Mérieux dans un but de rationalisation industrielle, et déclarait à propos de la myofasciite à macrophages (une des maladies provoquées par l'aluminium injecté) :

« Par rapport aux milliers de millions de doses de vaccins qui sont utilisées dans le monde, cela représente un nombre infime ; c'est trois patients à Créteil ou je sais pas quoi. »
La journaliste : « 1000 patients en France »,
Réponse : « Non, c'est pas qu'on les sacrifie ! Je suis en train d'essayer de vous démontrer que le tout n'est pas de se concentrer sur le pauvre clochard qui est malheureux, mais qu'il y a aussi le reste de la communauté... »10

Dans le vocabulaire eugéniste post 1945, le mot « clochard » a remplacé le mot « sous-homme ».
En même temps c’est aussi ce qu’exprime le président Macron :

« une gare, c'est un lieu où on croise des gens qui réussissent et des gens qui ne sont rien »11.

Il tient aussi un discours mathusien, donc eugéniste, en Afrique, où il persifle sur la fécondité (sans voir que c'est le moteur de la croissance économique), dans la droite ligne de l'ONU qui stérilise ou empoisonne les populations du Tiers-Monde à leur insu pour les rendre moins fécondes.

Les Freudiens parleraient de lapsus significatifs. Les Chrétiens citent plutôt l'évangile de Luc (6:45) :

« L'homme bon tire de bonnes choses du bon trésor de son cœur, et le méchant tire de mauvaises choses de son mauvais trésor ; car c'est de l'abondance du cœur que la bouche parle. »

En l'occurrence aujourd'hui, il s'agit de cœurs exprimant une mentalité eugéniste profonde.

Les médecins qui remettent en cause le vieux dogme de la vaccination sont menacés et persécutés : ils osent défendre des « clochards » et des « gens qui ne sont rien », plutôt que la politique de l'état.

L'eugénisme vaccinal ressemble fortement à l'eugénisme de Sparte. Plutarque raconte12 :

« Un père n’était pas maître d’élever l’enfant qui venait de lui naître. Il devait le porter dans un lieu appelé Leschée, où s’assemblaient les plus anciens de chaque tribu. Ceux-ci visitaient l’enfant ; et, s’il était bien conformé, et de complexion robuste, ils ordonnaient qu’on le nourrît, et ils lui assignaient, pour son apanage, une des neuf mille parts de terre : s’il était chétif ou contrefait, ils l’envoyaient jeter dans un gouffre voisin du mont Taygète, et qu’on appelait les Apothètes [du mot ἀποτίθημι, exposer, ou plutôt déposer]. Ils ne voyaient aucun avantage, ni pour lui-même, ni pour l’État, à le laisser vivre, destiné, comme il l’était dès sa naissance, à n’avoir jamais ni santé ni vigueur. Les femmes, pour éprouver la constitution des nouveau-nés, ne les lavaient point avec de l’eau, mais avec du vin ; car les enfants épileptiques ou maladifs ne peuvent, dit-on, soutenir l’épreuve : le vin les fait tomber dans le marasme et mourir ; mais, s’ils ont une complexion saine, le vin leur donne, pour ainsi dire, une trempe plus forte, et il endurcit leur tempérament. »

Avec les vaccins, qui sont une autre forme de maltraitance, les enfants les plus fragiles (1 à 3%) sont plongés dans le gouffre de l'autisme, et risquent de passer leur vie dans les institutions fermées ou dans la rue, avec une espérance de vie réduite.

Cet eugénisme moderne n'est plus explicite, car il est conscient de sa barbarie, mais il est diffus et d'autant plus dangereux. Ceux qui le mettent en œuvre refusent de le voir ou de reconnaître leur malfaisance, mais l'appliquent pourtant presque inconsciemment de manière pratique, et c'est cela qui compte et qui mènera à un jugement.

Comment le mythe tue

L’eugénisme moderne et contemporain est une conséquence directe du mythe Darwiniste : l’homme ne serait qu’un animal, avec des races diversement évoluées, donc des races supérieures et des races inférieures. On traite alors les humains comme du bétail ou des esclaves. Il n'y a que le Christianisme qui soit de manière cohérente en opposition frontale avec cette mentalité : l’homme a été créé à l’image de Dieu, on n’a pas le droit de tuer un innocent ou de le maltraiter, fût-il malade ou affaibli. L’eugénisme est un des fondements du marxisme, et partant, du socialisme contemporain. Ce dernier à beau contrefaire le Christianisme, il ne fera pas oublier le socialisme national qui a sévi de 1933 à 1945.

Le rejet du Christianisme par les Français et par leurs chefs fait que l’état s’arroge le droit de vie et de mort sur des populations innocentes.

Depuis que l’état se mêle de santé, il lui nuit. C’est normal car, selon la loi de Dieu, le gouvernement civil n’a pour rôle que la justice et la défense. Tout ce qu’il fait en plus est un abus. Ces abus sont aujourd'hui :

Que faire ?

Défendre nos propres enfants. La vaccination ne peut être qu'un choix parental et non une obligation : en cas de maladie ou d'autisme consécutifs à une vaccination, l'état ne reconnaît jamais sa faute et n'est jamais prêt à en assumer les conséquences. Il préfère nier les risques existants. Mais quel parent, correctement informé, va accepter de faire vacciner son bébé ? Nous avons désormais un accès large et gratuit à l'information via Internet, nous ne subissons plus le monopole du mensonge officiel des grands médias. Et il est temps que les médecins retrouvent leur rôle à l'écoute et au service des familles, cessent de se comporter en agents de l'état, et qu'ils fassent sérieusement jouer les nombreuses contre-indications aux vaccins.

Faire jouer le marché libre. Les vaccins proposés doivent satisfaire des critères de qualités réclamés par les clients, comme, entre autres, l'absence d'aluminium ou de mercure, une grande transparence sur les risques et les études réalisées ou pas, et la disponibilité de vaccins simples et non multiples qui s'apparentent à de la vente forcée et qui augmentent les risques. Les agences d'état perturbent le marché et encouragent la corruption et les abus, elles ont évidemment moins d'exigences sur la qualité des produits, d'autant qu'elles sont intéressées au chiffre d'affaire des fabricants.

Prendre en main notre santé. C'est le patient et sa famille qui ont la première autorité sur la manière de traiter les maladies, et non l'état ou les médecins. Le seul rôle légitime de l'état en matière de santé, c'est l'organisation de quarantaines lors d'épidémies (cf. Lév. 13). Quant aux médecins, ils doivent être au service des patients exclusivement et non de la racaille politicienne, de ses protocoles standardisés retardataires et de son idéologie eugéniste. D'autant que la santé concerne plus que le corps, et que la Bible utilise le même mot pour le salut et la guérison.

Rendre obsolète le système médical corrompu. Ce système n'a que l'autorité que nous lui reconnaissons et les budgets que nous lui votons. Le système actuel est l'expression d'une religion étatiste et païenne où l'état se voit en sauveur et en dieu, qu'il n'est évidemment pas. Certaines organisations sont nuisibles et doivent disparaître : l'ordre des médecins, le ministère de la santé, les agences nationales ou européennes de santé, l'OMS, etc. Espérons que la crise de la dette vienne providentiellement à notre secours pour les assécher.

Thierry LEFEVRE, La Trêve de Dieu

Notes :

1. Une pétition parlementaire qui a rapidement dépassé les 5000 signatures requises pourrait aider à saisir le conseil constitutionnel s'il se trouve 60 députés et 60 sénateurs qui la soutiennent.

2. Insultes et diffamations reprises en choeur par la presse aux ordres (Le Figaro, La Croix, etc.), les petits journaleux étaient tout heureux d'insulter le Pr Montagnier, le Dr Gherardi, le Pr Joyeux, sûrement par jalousie et servilité.

3. Elle a de 1998 à 2011 été rémunérée par le laboratoire Genzyme (désormais filiale de Sanofi) et entre 2005 et 2011 par les laboratoires Bristol Meyers-Squibb et Novartis sans compter que Pierre FABRE et Schering-Plough (filiale de Merck) ont financé entre 2005 et 2011 l’association Robert DEBRÉ qu'elle dirigeait. Son projet de rendre 11 vaccins obligatoires (l'exacte continuité socialiste de la précédente ministrette) est plus proche du conflit d’intérêt que de la dignité de la vie publique et est en tous cas un beau cadeau au lobby vaccinaliste et aux laboratoires (cf. http://www.alis-france.com/librairie/le-courrier-dalis)

4. Le Dr Fougerousse rappelle que toutes les assertions sur l'innocuité des vaccins et leur efficacité propagées par les bureaucrates de la santé ne reposent sur aucune étude.

5. Le processus d'AMM (autorisation de mise sur le marché) des vaccins n'est pas le même que celui des médicaments. Il est bien moins contraignant : pas de vrai placebo, pas d'études de cancérogenèse, de génotoxicité ni de mutagenèse, pas d'études de pharmacociné­tique, suivi trop court et sur effectif réduit, rapidité de mise sur le marché (cf. L'apport des vaccinations à la santé publique, la réalité derrière le mythe, Michel Georget, Ed. Dangles, 2014, pp.210-216)

6. Wakefield A.J. et al., « Ileal-lymphoid-nodular hyperplasia, non specific colitis and pervasive developmental disorder in children », The Lancet, 1998, 351:637-641

7. En 1988, la bureaucratie vaccinale introduisit au Royaume Uni un vaccin ROR nommé Pluserix, qui était identique à celui nommé Trivirix au Canada, et qui venait d'en être retiré car il provoquait trop de méningites. Les dégâts furent importants et le Pluserix fit retiré en 1992, pour être recyclé en 1997 au Brésil et en Italie, jusqu'en 2006, cf. http://whale.to/a/dr_andrew_wakefield.html. C'est ainsi que la méfiance s'installe alors que la confiance se mérite.

8. Les données complète sont finalement disponibles sur le site http://vaxxedthemovie.com/ malgré la destruction de ces documents dans les services de la FDA.

9. « Age at First Measles-Mumps-Rubella Vaccination in Children With Autism and School-matched Control Subjects: A Population-Based Study in Metropolitan Atlanta », Frank DeStefano, Tanya Karapurkar Bhasin, William W. Thompson, Marshalyn Yeargin-Allsopp, Coleen Boyle, Pediatrics Feb. 2004, vol. 113 / issue 2

10. « Aluminium, notre poison quotidien », France 5 (diffusion 29/01/2012)

11. Le Figaro, 02/07/2017

12. In Lycurgue, XVI, 1-2