Sarkozy est parti. Bon débarras ! Hollande est arrivé avec 39% des voix des Français. Il ne vaut pas mieux !
Lors de la campagne qui a précédé, Sarkozy a ouvertement confirmé qu'il était pro-avortement. Son jeu hypocrite qui a consisté à se présenter comme le candidat des "valeurs" n'a pas trompé grand-monde. Ce n'est pas l'importance du vote de la clientèle de gauche qui l'a éjecté, mais ce sont les plus de 2 millions de votes blancs et les 9 millions d'abstentions : il lui a manqué 1,14 millions de voix, car choisir entre Simone Veil et Simone Veil n'avait pas de sens.
Désormais, si les partis dits "conservateurs" veulent être élus et servir à quelque chose, il leur faudra apprendre à respecter les Chrétiens et à dé-construire leurs politiques anti-chrétiennes suicidaires : l'avortement de masse, le socialisme déguisé ou pas, le mépris de la famille, l'étatisme et ses taxes abusives, etc.

Il reste un 3ème puis un 4ème tour, les élections législatives, ce qui devrait nous permettre de calmer les intentions nocives et hégémoniques des socialistes (pour complaire à sa clientèle bobo, Hollande voudrait répandre l'euthanazie, l'adoption sodomite, l'endoctrinement athée, etc.) Contrairement à la présidentielle, il y a de nombreux candidats valables à droite et qui n'ont pas de sang sur les mains -- et il n'y a toujours rien de bon à gauche.
Un assemblée nationale qui s'opposerait systématiquement au président et au sénat, c'est-à-dire une cohabitation conflictuelle, permettrait de paralyser en partie la capacité de nuisance et l'interventionnisme forcenés des socialistes. Il faudra bien sûr écarter ceux qui ont fait la preuve de leur consanguinité avec eux, les Kosciusko-Morizet, Morano, Jouanno, Pécresse, Yade, Bachelot, Chatel, Bertrand, etc.

Depuis avant 1974, nous n'avons que des barbares au sommet de l'état. La célébration du 8 mai où Hollande et Sarkozy ont figuré a été une mascarade : le 8 mai 1945 était la victoire contre le nazisme, mais nous avons là 2 artisans de la défaite face au nazisme contemporain. En effet, la situation actuelle est un avatar de nazisme relooké : l'eugénisme de masse avec un grand génocide (des enfants à naître), un socialisme national (fascisme) où l'état se mêle de tous les domaines, avec les conséquences désastreuses que l'on connaît.
Cela correspond au fait que le peuple français est de moins en moins civilisé, c'est à dire qu'il est déchristianisé. Ces barbares ont instauré le génocide de l'avortement et de l'empoisonnement contraceptif, exterminant ainsi bien plus de 7 millions d'enfants. Petit à petit, cela a mis en péril les finances de l'état-providence : les systèmes de retraite et l'assurance maladie sont maintenant en faillite, et depuis 1974, l'état a emprunté massivement pour masquer ces dépenses gigantesques -- qui ne seront jamais remboursées.

La "crise de la dette" est donc bien une conséquence du génocide.

Hollande, comme les autres politicards vient s'essayer au changement du sens des mots :

• La "croissance", il veut de la croissance, comme s'il suffisait de la décréter et d'injecter de la fausse monnaie à la manière de Keynes, de la FED et de la BCE. Lui et ses prédécesseurs barbares ont tout fait pour faire décroître la population, ils ont promu l'avortement des enfants, et ils voudraient que ceux qu'ils ont tués se mettent à travailler ? [un idiot de l'INED avait même prétendu que l'avortement ne réduisait pas la natalité !]
  
  
• La "jeunesse", il veut la promouvoir. Qu'il commence donc par la laisser vivre ! Lui et ses prédécesseurs barbares ont organisé le génocide de l'avortement ; ils sont donc des promoteurs du vieillissement de la population et de l'absence d'avenir du pays.
  
  
• La "justice", il la veut partout. Il parle en fait de "justice sociale", concept marxiste qui sert à masquer une injustice : le pillage des populations par l'état ; la véritable justice consisterait à réprimer le crime. Mais Hollande et ses prédécesseurs barbares ont en réalité horreur de la justice : ils ont promu le crime de l'avortement.
  
  
• L'école laïque, c'est son "église", il veut la promouvoir et honorer Jules Ferry. Cette école publique a été l'outil de déchristianisation le plus efficace depuis le 19e siècle. Elle est en revanche très médiocre en ce qui concerne l'apprentissage de la lecture. C'est une institution soviétoïde trop coûteuse et obsolète : elle n'est pas gratuite puisqu'elle coûte plus du quart du budget de l'état, elle est obsolète parce qu'elle peut avantageusement être remplacée par des organisations privées ou familiales bien plus légères qui utilisent les possibilités extraordinaires des nouvelles technologies (tablettes, réseaux) et qui, surtout, seront au service des familles et non des politiciens et des syndicats.
  

La conversion et le retour à la réalité de l'ordre créé par Dieu sont donc à l'ordre du jour.