LA TRÊVE DE DIEU
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COMMUNIQUÉ du 13/03/2007 :
Vérité et justice : les grandes absentes de la campagne présidentielle 2007


La grande médiatisation de la campagne présidentielle s'organise aujourd'hui comme une campagne marketing pour des lessives. Les lessives sont généralement efficaces. On ne peut pas en dire autant des politiciens, car la campagne présidentielle actuelle ne repose que sur l'illusion et le mensonge. Le mensonge servant à perpétuer l'injustice. Et l'injustice menant à la mort.

1. Illusions et mensonges
Les candidats se présentent tous comme des sauveurs de la France, qui vont y apporter la prospérité et le bonheur, sans remettre en cause les illusions ni les fautes de leurs électeurs potentiels :
2. L'injustice
Le rôle de l'État est d'exercer la justice, de punir celui qui fait le mal et d'encourager celui qui fait le bien.
L'État français contemporain fait tout le contraire :
Mme Royal est complice de ce renversement de la loi, ne serait-ce que par la distribution de pilules abortives aux écolières, qu'elle a organisée en tant que ministre.
M. Sarkozy est aussi complice de ce renversement de la loi, ne serait-ce qu'en choisissant comme présidente de son comité de soutien le symbole de la loi inique d'avortement (Mme Veil, qui a déjà fait perdre Balladur...)
Ces deux principaux candidats veulent aussi, après avoir soutenu l'avortement, légaliser l'euthanasie. Ils veulent donc tenter de maintenir et d'aggraver le statu quo. La presse parle toujours de "relance" du débat sur l'euthanasie, elle a raison, ce débat a d'abord été lancé par les nazis, parce que l'euthanasie consiste à traiter l'être humain comme un chien dont on se débarrasse quand il devient improductif ou coûteux.

3. Conclusion
C'est Dieu qui donne la vie et la mort, personne n'a le droit de se prendre pour Dieu. L'État doit respecter le sens du bien et du mal et n'a pas à le redéfinir, comme il n'a pas non plus à définir qui est humain et qui ne l'est pas. L'État doit respecter une loi qui lui est supérieure, celle de Dieu, et qui dit « tu ne commettras pas de meurtre ».
Le seul rôle légitime de l'État, c'est l'exercice de la justice. Ce qu'il fait en plus, son ingérence dans l'économie, dans la charité, dans la famille, dans l'éducation, est destructeur de la société et de la justice. Lorsque l'État est criminel, c'est lui qui finit par passer en Justice. Nuremberg n'en est qu'un des plus doux exemples.

Le sang versé des enfants innocents (plus de 8 millions depuis 1975 en France) crie et demande Justice.
La restauration de la Justice n'est pas aux programmes des candidats, ils préfèrent les promesses illusoires qui ne répondent pas aux vraies questions. Cette campagne présidentielle restera donc un exercice de futilité.
Cependant Dieu voit le génocide de l'avortement et a déjà commencé son jugement : l'avenir d'un peuple qui tue ses enfants n'existe pas. Est-il une punition plus grave que celle de voir sa descendance supprimée ? Y a-t-il plus grande folie que de la supprimer soi-même ?
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